L’olivier

Une élégie

Glisse sur son écorce

Jusqu’à ses racines
elle dessine

Une tache de deuil

Puisque dés la sécheresse

Il a été abandonné inopinément

Qui parle de lui

Et où il se trouve ?

Parce que le vent

A arraché toutes ses feuilles 

Pour mieux couvrir

Son tronc esprit fiévreux